"On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."
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"On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."
Elle écoute pousser les fleurs
Au milieu du bruit des moteurs
Avec de l'eau de pluie
Et du parfum d'encens
Elle voyage de temps en temps
On avance, on avance, on avance.
C'est une évidence :
On a pas assez d'essence
Pour faire la route dans l'autre sens.
Je fais que passer ma route
Pas vu celle tracée
Passer entre les gouttes
Evadé belle
Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud..
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d'un million d'années
Et toujours en été.
L'été, l'été
C'est-y pas le temps des vacances
L'été, l'été
C'est-y pas la saison d'aimer
On a fait le tour du monde
Sans jamais quitter le ciel
Après tout les jeux de l'ombre
Valent bien ceux du soleil
Il voulait trouver mieux
Que son lopin de terre
Que son vieil arbre tordu au milieu
Trouver mieux que la douce lumière du soir
Près du feu
Qui réchauffait son père
Et la troupe entière de ses aïeux
Le soleil sur les murs de poussière
Il voulait trouver mieux
J'ai tout laissé
Comme c'était
Tu peux rêver sans crainte
Le lit défait,
L'oreiller,
Exceptées les empreintes,
Je n'ai rien oublié
Ni l'image, ni l'son
Ni le frisson
La peau dorée d'or fin
Ni le parfum
Ni les vins ni les verres
Ni l'endroit ni l'envers