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Le voilà...

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L'été, l'été
C'est-y pas le temps des vacances
L'été, l'été
C'est-y pas la saison d'aimer
On a fait le tour du monde
Sans jamais quitter le ciel
Après tout les jeux de l'ombre
Valent bien ceux du soleil

Il est bien là, celui qui fait monter la température, il est revenu celui qui aime me voir nue.

Sans rancune, je ne me dis pas que ses rayons ont généré mon mal, non, je me méfie de lui mais je le laisse me caresser, parce que c'est doux, parce que c'est chaud, et qu'en faisant tourner mon sang il fabrique l'essence qui me fait avancer.

Il n'avait pas tort, Charles, "Il me semble que la misère / Serait moins pénible au soleil". Sous le sceau de l'été, il est plus facile de supporter, les visages fermés, les gamins turbulents, la misère n'est pas toujours une question d'argent.

tong.JPGJe respire. J'aspire. J'inspire. Je soupire.

Et je ne fais plus rien d'autre que cela.

Il arrive l'été, avec sa chaleur, avec sa lenteur...

Plus rien ne compte.

Chaise longue, melon et tongs...

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