Le froid congèle mes désirs de toi,
la neige les cache au regard du monde.
J’avance en silence, j’attends ton regard, tes doigts,
que la glace fonde.
Un ange passe …
Le froid congèle tes désirs de moi...
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Le froid congèle mes désirs de toi,
la neige les cache au regard du monde.
J’avance en silence, j’attends ton regard, tes doigts,
que la glace fonde.
Un ange passe …
Le froid congèle tes désirs de moi...
I collect many things
And Keep them all close to me
To the ceiling from the floor
I'm tripping on them constantly
I add up all theses moments
In along narrow ledger
Decimals of pain
Integers of pleasure
The sum of all these parts
I don't how to measure
They keep on adding up
They just keep on adding up
The collector - La Collectionneuse
( Charlotte Gainsbourg )
( Pierre Bonnard - nu à contre jour - 1908 )
( Edward Hopper - Morning in the city - 1944 )
" Fixement, le ciel se tord
Quand la bouche engendre un mot
Là, je donnerais ma vie pour t'entendre
Te dire les mots les plus tendres"
(Farmer/Seal)
" Mes yeux se posent ici et ailleurs
Mes souvenirs me parlent de ton coeur
J'ai besoin d'entendre ta voix
Le courage me manque, aide-moi. "
Nicole Croisille
(http://www.frmusique.ru/texts/c/croisille_nicole/telephonemoi.htm)
Et toi mon cœur pourquoi bats-tu
Comme un guetteur mélancolique
J'observe la nuit et la mort
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Et souviens toi que je t'attends...
(Apollinaire)
Klimt "l'Attente"
En moi, il y a…
Du sang de maman,
Du sang de papa,
De la silicose des mes grands-pères
Des peurs de mes grands-mères
Des rigidités héritées
Une icône ébréchée
Un destin tracé
Des révoltes avortées
En moi il y a…
Des années de fac
Des fantasmes en vrac
Vécus mais tus
Réels mais cruels
Et l’apparition d’un tu
Duo qui tue l’individu Elle
En moi il y a…
Une bête qui mange
Des idées qui dérangent
Des excuses qui arrangent
En moi il y a…
Toi.
Ni fleurs, ni couronnes
Ni pleurs qui raisonnent
J’aimerais, comme Mamie,
Mourir à la fin de ma vie.
Ni fleurs ni couronnes
N’embêter personne
J’aimerais, comme Mamie,
Mourir un samedi.
Je sais pourtant qu’il y aura des hurlements,
Ma mère par terre
Et toi qui auras si froid.
Tu fais trop de mathématiques
Dans ta tête et dans ton cœur
Tu n'entends plus la musique
Ni la voix du vrai bonheur
Tu n'entends plus la musique
Ni la voix de ton Seigneur
( Père Cocagnac ! )