Ni fleurs, ni couronnes
Ni pleurs qui raisonnent
J’aimerais, comme Mamie,
Mourir à la fin de ma vie.
Ni fleurs ni couronnes
N’embêter personne
J’aimerais, comme Mamie,
Mourir un samedi.
Je sais pourtant qu’il y aura des hurlements,
Ma mère par terre
Et toi qui auras si froid.
Commentaires
Joli blog, Jeanne !