L'été, l'été
C'est-y pas le temps des vacances
L'été, l'été
C'est-y pas la saison d'aimer
On a fait le tour du monde
Sans jamais quitter le ciel
Après tout les jeux de l'ombre
Valent bien ceux du soleil
jeanneovertheworld - Page 32
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Le voilà...
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ligne bleue
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La foret chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages -
Voyager avec l'info (2)
C'est la Mort ! C'est la Mort !
C'est la Vie ! C'est la Vie !
Voici l'homme poilu
Qui est allé chercher le soleil et l'a fait briller de nouveau
Faites face !
Faites face, en rang, soyez solides et rapides devant le soleil qui brille !
Allez !!( Traduction du HAKA)
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Voyager avec l'info
C'était un soir messieurs mesdames
Ou la télé était en panne
On allait louper à coup sûr
Les attentats tous les coups durs
Tout ce qui dégringole à la ronde
Sur la calebasse du pauvre monde
Et tout le cortège désabusé
Des mêmes qui sont toujours baisés -
Rouge
Il voulait trouver mieux
Que son lopin de terre
Que son vieil arbre tordu au milieu
Trouver mieux que la douce lumière du soir
Près du feu
Qui réchauffait son père
Et la troupe entière de ses aïeux
Le soleil sur les murs de poussière
Il voulait trouver mieux -
vertu(s)
J'ai tout laissé
Comme c'était
Tu peux rêver sans crainte
Le lit défait,
L'oreiller,
Exceptées les empreintes,
Je n'ai rien oublié
Ni l'image, ni l'son
Ni le frisson
La peau dorée d'or fin
Ni le parfum
Ni les vins ni les verres
Ni l'endroit ni l'envers -
croquer la vie
things we always
thought were forbidden
you ‘ve found them
deep inside of me, hidden
in my garden walk with me
baby
in my garden dance on me
baby
dancin’ in me
singin’ in me
rhyming’ in me
in my garden (Axelle red) -
Autodafé
Je veux la foudre et l'éclair
L'odeur de poudre, le tonnerre
Je veux la fête et les rires
Je veux la foule en délire
Il suffira d'une étincelle
D'un rien, d'un contact
Allumer le feu, allumer le feu
Et faire danser les diables et les dieux -
enfer vert
Elle écoute pousser les fleurs
Au milieu du bruit des moteurs
Avec de l'eau de pluie
Et du parfum d'encens
Elle voyage de temps en temps -
ti ch'taime
Et j'avais des terrils à défaut de montagnes
D'en haut je voyais la campagne
Mon père était "gueule noire" comme l'étaient ses parents
Ma mère avait les cheveux blancs
Ils étaient de la fosse, comme on est d'un pays
Grâce à eux je sais qui je suis