Après, t'allais voir de drôles de garçons
Pour qu'ils te parlent de révolution
Quand tu les croises aujourd'hui tu fais même plus attention !
Joe ! T'as plus le temps
T'as trop d'argent
Tu es trop grand maintenant
(F. Cabrel )
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Après, t'allais voir de drôles de garçons
Pour qu'ils te parlent de révolution
Quand tu les croises aujourd'hui tu fais même plus attention !
Joe ! T'as plus le temps
T'as trop d'argent
Tu es trop grand maintenant
(F. Cabrel )
Viens lire sur mes lèvres,
Viens caresser mes rêves.
Laisse ta trace, ton encre,
Au plus profond de mon antre.
Viens écrire ma fièvre,
Ponctue-la de ta sève.
(illustration de Roy Lichtenstein)
Dans cette vallée de larmes qu'est la vie
Viens avec moi par les sentiers interdits
À ceux-là qui nous appellent à tort ou à raison :
Vilaine fille, mauvais garçon
(S. Gainsbourg )
Pourquoi y a-t-il des barrières dans les champs,
alors que l’herbe pousse des deux côtés ?
Pourquoi met-on des limites ?
Pour mettre à l’abri nos rêves ou nous empêcher d’en faire de plus grands ?
Pourquoi ces panneaux «propriété privée» ?
Prends ma main... et sautons la barrière,
l’herbe pousse des deux côtés.
Fais mentir Johnny :
"On ne vit pas du même côté de la barrière
C'est mieux comme ça, chacun sa vie, chacun sa guerre"
Porte d'embarquement :
porte sur les possibles,
porte vers un ailleurs.
Ailleurs qui me transporte.
Tes mains à ma porte,
ta clé dans ma serrure.
Fermer les yeux.
Une larme de désir,
essuyée.
Fermer la porte.
"Si le vent pousse les nuages
On apercevra le soleil
Et l'on pourra tourner la page
De ces matins, pauvres réveils
Ces matins qui gardent en otages
Nos envies au fond d'un sommeil "
(Grégoire)
Dans mon ventre
poussent des possibles.
Avec l'automne et ses renoncements,
coulent des larmes de sang.
V.
Comme un fruit pelé, presque trop mûr,
Tu me vois nue, sans armure.
Croque ma peau, croque mes lèvres,
panse mes blessures de ta sève.
V.
"Enlacés sur le sable
Caressés par les vagues...
Le vent m'a déshabillée
Je n'ai plus rien à cacher"
" Y a quelque part quelqu'un
Qui voit sans être vu,
Qui lit dans un bouquin
Comment il t'a connu.
Méfie-toi on t'aime.
C'est un amour de loin
Un amour fait pour un...
Méfie-toi on t'aime,
Sans désir sans haleine
Qui s'approche de la haine.
Méfie-toi on t'aime
Quand ton soleil s'éteint. " ( M.S )