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l'écho des sirènes / écolo

copen1.JPGJe n'sais plus comme te dire,
Rien que des mots
Mais tu es cette belle histoire d'amour...
que je ne cesserai jamais de lire.
Des mots faciles des mots fragiles
C'était trop beau
Tu es d'hier et de demain
Bien trop beau
De toujours ma seule vérité.

paroles, paroles, paroles
Ecoute-moi.
paroles, paroles, paroles
Je t'en prie.
paroles, paroles, paroles
Je te jure.
paroles, paroles, paroles, paroles, paroles
encore des paroles que tu sèmes au vent

Elle pleure la petite sirène, à Copenhaguecopen2.JPG...

Ils sont tous là, les grands du monde, à discuter de la planète, à parler sans écouter, à entendre sans comprendre. Ils ne vont décider de rien, la nuit n'a pas porté conseil, l'ennui a accompagné le réveil. Et même s'ils finissent par signer un papier, il sera biodégradable. Les usines d'aujourd'hui fabriquent déjà les excuses de demain, les crises à venir justifient de ne pas respecter les engagements.

Toujours finira par primer l'intérêt national - en plein débat sur l"identité nationale française, ne devrait-on pas élever le propos ? -. Plus même : ça finira autour d'un nombril, la communauté humaine est illusion d'humanité. Homo homini lupus.

copen3.JPGMoi je t'emmenerais bien à Copenhague, on prendrait une boisson chaude sur la place de la mairie en regardant les enfants patiner.

Du port de Nyhavn, je te monterais les petites places moins cartes postales, je te ferais gouter des Aebelskiver, tu viendras prendre le sucre sur mes lèvres gourmandes.

On sera là aussi, comme eux, deux grands dans le monde, on discutera de la planète. Et on ne décidera de rien non plus, la nuit apportera son miel.

nombril3.JPGToute ton humanité gravitera encore autour d'un nombril.

Egoïstement, délicieusement, je jouirais de savoir que c'est le mien...

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