Je t’aime quand tu t’endors
Quand le sommeil s’empare de ton corps
Et le mène vers d’autres ports.
Je t’aime quand tu t’endors,
Ta main dans la mienne abandonnée,
J’aime les spasmes qui la font croire hantée,
Tremblante, juste avant le pays des fées.
J’aime ces soubresauts,
saouls avant le grand saut
Je t’aime quand tu t’endors,
A mes côtés
Presque autant que je t’aime quand tu te réveilles
A mes côtés.