Il l’a jeté dans l’escalier,
Olivier,
Je le regarde avec émotion,
Son caleçon.
Une trace de lui, une signature, lui qui vit, lui qui court, lui qui veut, lui qui rêve encore, lorsqu’il dort, de plus en plus tard.
Et tout ces gens qui gravitent, ce monde qu’il évite, cet univers qu’il traine avec lui.
Avec la peinture écaillée,
De l’escalier,
On voit bien ce qui lui manque, qui lui manque.
Un terrible résumé
D’Olivier.
Je n’ose le déranger, j’aimerais le ramasser, j’aimerais épousseter.
Je n’a pas besoin de carte, je le sais trésor.
Je le veux
Heureux.
Amitiés
Olivier.